À São Paulo, patrie du défunt Ayton Senna, c’est le pied au plancher et à fond la caisse qu’on vit sa passion. Et quand il est question de metal extrême, c’est logiquement à un rythme effréné que se cale la vitesse d’expression. L’assaut supersonique de ces quatre terreurs remontées comme des coucous se veut sauvage, tranchant et millimétré : un parfait compromis entre le tout jeune Sepultura et le death metal moderne.