En empruntant son nom au poète du macabre Lucio Fulci, les Transalpins ne font que rendre grâce à cet esthète de la violence et de la chair maltraitée. Basant le titre de chacun de ses 5 albums sur un des chefs-d'œuvre du maître, le combo déroule son death metal baignant joyeusement dans le gore et dans tout ce qu’il y a de plus brutal. En ce jour du Seigneur, c’est un moment sanglant et putride qui attend les amateurs de gros son et cinéphiles avertis que vous êtes.