S’attaquer à l’œuvre de THY LIGHT, c’est faire un saut dans ce que l’être peut avoir de plus noir, de plus triste. La bande-son d’un monde désenchanté, avec la neurasthénie pour seule religion. Un mal qui semble incurable, qui vous ronge à petit feu. Une infection lente qui vous dévore inexorablement l’âme. Un long tunnel sans lumière au bout. Une solitude éternelle en écho à ce sentiment de dépression agonisante. N’ayez crainte, laissez-vous guider vers une fin des plus apaisée.