L’aventure toute récente de RETURN TO DUST débute pourtant il y a fort longtemps, du côté des années 80/90, de Seattle et de son grunge si caractéristique de la « ville de la pluie ». Capturant parfaitement l’essence-même du style, les gaillards ne se limitent pourtant pas à être de simples copies d’Alice in Chains ou Soundgarden, ils restent pertinents et foncièrement modernes dans leur interprétation.