Avec son œuvre mélancolique et glaciale, GEHENNA va faire redescendre de quelques degrés la température de la Temple dont les tentures vont vraisemblablement se parer de stalactites pour l’occasion. Pas d’excès de vitesse mais des ambiances maléfiques et menaçantes où la fureur est tantôt latente, tantôt exacerbée. Groupe extrêmement rare sur scène, le retrouver à l’affiche est un évènement exceptionnel qu’il convient de célébrer à sa juste démesure.