Une fois leurs drakkars solidement amarrés sur les bords de la Sèvre et du Moine, les vikings norvégiens entameront leur razzia jusqu’à la Temple (d’Odin) avec pour point d’orgue une célébration virile où les sarabandes musclées et bourrues et les riffs en fer forgé vont mener le bal. Du folk metal qui sort des sentiers battus : une antithèse des versions « pouêt-pouêt » ou très lacrymales. Ici, ça bastonne sec sur du mid-tempo. Et c’est très bien comme ça !