Emmené par la charismatique et bougrement hargneuse Emma Boster, le combo de Portland ne fait pas dans la demi-mesure quand il s’agit de vous balancer des parpaings dans la tronche. Mais ce serait faire offense à la finesse mélodique dont il est capable que de le réduire à cette simple sauvagerie. Avec DYING WISH, ça va vite, ça va fort, ça assomme à coups de breakdowns dévastateurs sans jamais oublier les petites caresses rugueuses qui vous écorchent la gueule.