Si Shagrath et ses sbires dominent la sphère du black symphonique depuis 30 ans, ce n’est certainement pas un hasard. Ils extraient l’essence brute du black hérité des années 80 pour la raffiner à l’extrême. Une transformation en un metal cinématique, où les orchestrations prennent le pas sur la violence crue et primaire. Les Norvégiens maîtrisent leur art comme personne. DIMMU BORGIR, où quand le noir s’abandonne à la lumière.